Vous avez dit, monsieur le président ?
Ces petites phrases qui ont fait basculer l'histoire politique
Jean-Baptiste Pattier, Emmanuel Chaunu - Collection Sociétales
176 pages, parution le 16/02/2022
Résumé
« Je vous ai compris ! », « abracadabrantesque », « nettoyer au Kärcher », ou encore « inverser la courbe du chômage » et « quoi qu’il en coûte » ; nos présidents de la République ont décidément le sens des formules, mais vous souvenez-vous des idées politiques qu’elles transmettent et dans quel contexte elles ont été prononcées ?
De tout temps et plus encore à l’heure des réseaux sociaux, les « petites phrases » des hommes politiques sont commentées, décortiquées, voire critiquées et en disent long sur ceux qui nous gouvernent.
Jean-Baptiste Pattier et Chaunu nous embarquent pour un tour d’horizon des déclarations qui ont marqué la vie politique de notre Cinquième République, de De Gaulle à Macron. Ils nous donnent un éclairage intéressant sur nos présidents, l’évolution de la communication politique et nous proposent une synthèse passionnante des expressions mémorables et des grands débats entrés dans l’histoire.
De tout temps et plus encore à l’heure des réseaux sociaux, les « petites phrases » des hommes politiques sont commentées, décortiquées, voire critiquées et en disent long sur ceux qui nous gouvernent.
Jean-Baptiste Pattier et Chaunu nous embarquent pour un tour d’horizon des déclarations qui ont marqué la vie politique de notre Cinquième République, de De Gaulle à Macron. Ils nous donnent un éclairage intéressant sur nos présidents, l’évolution de la communication politique et nous proposent une synthèse passionnante des expressions mémorables et des grands débats entrés dans l’histoire.
L'auteur - Jean-Baptiste Pattier
Autres livres de Jean-Baptiste Pattier
L'auteur - Emmanuel Chaunu
Autres livres de Emmanuel Chaunu
Sommaire
Sommaire (non définitif)
Présidentielle 2017. Emmanuel Macron, candidat et président: "Jupiter". Coronavirus : "Nous sommes en guerre". "Les jours heureux". "Un pognon de dingue". "Le Gaulois réfactaire". "Le meilleur moyen de se payer un costard, c'est de travailler". "Poudre de perlimpinpin". "Pipi de chat". "Croquignolesque". "Je ne céderai rien aux fainéants". "En même temps". "Carabistouille". "Galimatias". "Je traverse la rue, du travail, je vous en trouve". François Fillon, candidat: "La séance des boules puantes est ouverte". "Le favori devient le troisième candidat". "Qui imagine le général de Gaulle mis en examen", à propos de Nicolas Sarkozy. Présidentielle 2012. François Hollande, candidat et président: "Mon ennemi, c'est la finance". "Moi président". "Président normal". Présidentielle 2007. Ségolène Royal, candidate : "La bravitude" sur la Grande Muraille de Chine. "Je suis très en colère" lors du débat avec N. Sarkozy. Nicolas Sarkozy, candidat et président:"Carla et moi, c'est du sérieux". "Casse-toi pauv' con". "La rupture tranquille". "L'Homme africain". "La croissance, j'irai la chercher avec les dents". "François Fillon: le collaborateur". Présidentielle 2002. Lionel Jospin, candidat éliminé par Jean-Marie Le Pen : "Fatigué et vieilli" à propos de Jacques Chirac. "J'ai une imagination normale mais tempérée par la raison", à un journaliste, à quatre jours du premier tour et de son élimination par JM Le Pen. "J'assume pleinement la responsabilité de cet échec et j'en tire les conclusions en me retirant de la vie politique". Chirac président."Notre maison brûle", à propos du réchauffement climatique. "Je décide, il exécute", à propos de Nicolas Sarkozy. "Présidentielle 1995. Jacques Chirac, candidat et président: "J'aime les pommes". "What do you want? Me to go back to my plane and go back to France?" "Et voici la Coupe de France... la Coupe du monde!". "Abracadabrantesque". Lionel Jospin, candidat: "Il vaut mieux cinq ans avec Jospin que sept ans avec Chirac". Edouard Balladur, candidat:"Je vous demande de vous arrêter". Présidentielle 1988. Jacques Chirac, candidat et François Mitterrand, candidat et président sortant: "Ce soir, je ne suis pas le Premier ministre, et vous n'êtes pas le président de la République". Et Mitterrand répond: "Mais vous avez tout à fait raison monsieur le Premier ministre". François Mitterrand, président:"Toutes les explications du monde ne justifieront pas qu'on ait pu livrer aux chiens l'honneur d'un homme", aux obsèques de Pierre Bérégovoy. "Je crois aux forces de l'esprit", 31 décembre 1994. Présidentielle 1981. Valéry Giscard d'Estaing, président sortant:"Au revoir". François Mitterrand, candidat, à VGE:"Je ne suis pas votre élève et vous n'êtes pas le président de la République, ici, vous êtes simplement mon contradicteur". Présidentielle 1974. Débat du second tour, VGE à François Mitterrand: "Vous n'avez pas le monopole du coeur". Georges Pompidou présdident 1969-1974 : "Le général de Gaulle est mort, la France est veuve". Charles de Gaulle président 1958-1969 : "Pourquoi voulez-vous qu'à 67 ans, je commence une carrière de dictateur?" "Je vous ai compris". "Un quarteron de généraux en retraite". "Ils avaient pensé et écrit en quelque espéranto ou volapük intégré...". "Je ne vais pas mal mais rassurez-vous, un jour, je ne manquerai pas de mourir". "Un aréopage technocratique, apatride et irresponsable". "On peut sauter sur sa chaise comme un cabri". "Vive le Québec libre!" "La réforme, oui, la chienlit, non".
Présidentielle 2017. Emmanuel Macron, candidat et président: "Jupiter". Coronavirus : "Nous sommes en guerre". "Les jours heureux". "Un pognon de dingue". "Le Gaulois réfactaire". "Le meilleur moyen de se payer un costard, c'est de travailler". "Poudre de perlimpinpin". "Pipi de chat". "Croquignolesque". "Je ne céderai rien aux fainéants". "En même temps". "Carabistouille". "Galimatias". "Je traverse la rue, du travail, je vous en trouve". François Fillon, candidat: "La séance des boules puantes est ouverte". "Le favori devient le troisième candidat". "Qui imagine le général de Gaulle mis en examen", à propos de Nicolas Sarkozy. Présidentielle 2012. François Hollande, candidat et président: "Mon ennemi, c'est la finance". "Moi président". "Président normal". Présidentielle 2007. Ségolène Royal, candidate : "La bravitude" sur la Grande Muraille de Chine. "Je suis très en colère" lors du débat avec N. Sarkozy. Nicolas Sarkozy, candidat et président:"Carla et moi, c'est du sérieux". "Casse-toi pauv' con". "La rupture tranquille". "L'Homme africain". "La croissance, j'irai la chercher avec les dents". "François Fillon: le collaborateur". Présidentielle 2002. Lionel Jospin, candidat éliminé par Jean-Marie Le Pen : "Fatigué et vieilli" à propos de Jacques Chirac. "J'ai une imagination normale mais tempérée par la raison", à un journaliste, à quatre jours du premier tour et de son élimination par JM Le Pen. "J'assume pleinement la responsabilité de cet échec et j'en tire les conclusions en me retirant de la vie politique". Chirac président."Notre maison brûle", à propos du réchauffement climatique. "Je décide, il exécute", à propos de Nicolas Sarkozy. "Présidentielle 1995. Jacques Chirac, candidat et président: "J'aime les pommes". "What do you want? Me to go back to my plane and go back to France?" "Et voici la Coupe de France... la Coupe du monde!". "Abracadabrantesque". Lionel Jospin, candidat: "Il vaut mieux cinq ans avec Jospin que sept ans avec Chirac". Edouard Balladur, candidat:"Je vous demande de vous arrêter". Présidentielle 1988. Jacques Chirac, candidat et François Mitterrand, candidat et président sortant: "Ce soir, je ne suis pas le Premier ministre, et vous n'êtes pas le président de la République". Et Mitterrand répond: "Mais vous avez tout à fait raison monsieur le Premier ministre". François Mitterrand, président:"Toutes les explications du monde ne justifieront pas qu'on ait pu livrer aux chiens l'honneur d'un homme", aux obsèques de Pierre Bérégovoy. "Je crois aux forces de l'esprit", 31 décembre 1994. Présidentielle 1981. Valéry Giscard d'Estaing, président sortant:"Au revoir". François Mitterrand, candidat, à VGE:"Je ne suis pas votre élève et vous n'êtes pas le président de la République, ici, vous êtes simplement mon contradicteur". Présidentielle 1974. Débat du second tour, VGE à François Mitterrand: "Vous n'avez pas le monopole du coeur". Georges Pompidou présdident 1969-1974 : "Le général de Gaulle est mort, la France est veuve". Charles de Gaulle président 1958-1969 : "Pourquoi voulez-vous qu'à 67 ans, je commence une carrière de dictateur?" "Je vous ai compris". "Un quarteron de généraux en retraite". "Ils avaient pensé et écrit en quelque espéranto ou volapük intégré...". "Je ne vais pas mal mais rassurez-vous, un jour, je ne manquerai pas de mourir". "Un aréopage technocratique, apatride et irresponsable". "On peut sauter sur sa chaise comme un cabri". "Vive le Québec libre!" "La réforme, oui, la chienlit, non".
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Caractéristiques techniques
| PAPIER | NUMERIQUE | |
| Éditeur(s) | Armand Colin | |
| Auteur(s) | Jean-Baptiste Pattier, Emmanuel Chaunu | |
| Collection | Sociétales | |
| Parution | 16/02/2022 | 16/02/2022 |
| Nb. de pages | 176 | 192 |
| Format | 12.5 x 19 | - |
| Couverture | Broché | - |
| Poids | 178g | - |
| Contenu | - |
ePub |
| EAN13 | 9782200633080 |
9782200634124 |
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