C'était un paysage d'été paisible et reposant, aussi beau qu'un rêve et aussi solitaire qu'un dimanche. L'air était rempli de l'odeur des fleurs, du bourdonnement des insectes et du chant des oiseaux. L'endroit était désert ; il n'y avait personne, aucune charrette, aucun signe de vie, tout était au repos. La route était en fait un chemin sinueux avec des empreintes de sabots et quelques traces de roues ici et là, les roues semblaient larges d'environ une main.