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De l'esprit des lois. nouvelle  édition, suivie de la défense de l'esprit des lois
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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De l'esprit des lois. nouvelle  édition, suivie de la défense de l'esprit des lois

De l'esprit des lois. nouvelle édition, suivie de la défense de l'esprit des lois

Charles-Louis de Secondat Montesquieu, François Voltaire, Jean-Baptiste-Louis Crevier - Collection Sciences sociales

694 pages, parution le 01/03/2021

Résumé

De l'esprit des lois (Nouvelle édition... suivie de la Défense de l'Esprit des lois...) / par Montesquieu ; avec des notes de Voltaire, de Crevier, de Mably, de La Harpe, etc.,
Date de l'édition originale : 1871

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

L'auteur - Charles-Louis de Secondat Montesquieu

1689 - 1755. Grand libéral, esprit rigoureux, Montesquieu - né Charles de Segondat, baron de la Brède et de Montesquieu -, est l'auteur des Lettres Persanes, , des Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734) et de De l'esprit des lois. (Académie française.)

Autres livres de Charles-Louis de Secondat Montesquieu

L'auteur - François Voltaire

François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle etplus largement l’histoire du monde. Il est le philosophe emblématique du siècle des Lumières. Il est connu pour ses contes philosophiques ( Candide, Micromégas), sa lutte contre la superstition, et son implication dans l’affaire Jean Calas

Autres livres de François Voltaire

L'auteur - Jean-Baptiste-Louis Crevier

Autres livres de Jean-Baptiste-Louis Crevier

Sommaire

TABLE DES MATIÈRES

PRÉFACE.Page 1
AVERTISSEMENT.Page 3

LIVRE I. - Des lois en général.

I. Des lois, dans le rapport qu'elles ont avec les divers êtres. - II. Des lois de la nature. - III. Des lois positives.Page 3 à 9

LIVRE II. - Des lois qui dérivent directement de la nature du gouvernement.

I. De la nature des trois divers gouvernements. - II. Du gouvernement républicain, et des lois relatives à la démocratie. - III. Des lois relatives a la nature de l'aristocratie. - IV. - Des lois dans leur rapport avec la nature du gouvernement monarcspanque. - V. Des lois relatives à la nature de l'Etat despotique.Page 9 à 19

LIVRE III. - Des principes des trois gouvernements.

I. Différence de la nature du gouvernement et de son principe. - II. Du principe des divers gouvernements. - III. Du principe de la démocratie. - IV. Du principe de l'aristocratie. - V. Que la vertu n'est point le principe du gouvernement monarcspanque. - VI. Comment on supplée à la vertu dans le gouvernement monarcspanque. - VII. Du principe de la monarcspane. VIII. Que I'honneur n'est point le principe des Etats despotiques. - IX. Du principe du gouvernement despotique. - X. Différence de l'obéissance dans les gouvernements modérés et dans les gouvernements despotiques. - XI. Reflexion sur tout ceci.Page 19 à 28.

LIVRE IV. - Les lois de I'éducation doivent être relatives aux principes du gouvernement.

I. Des lois de l'éducation. - II. De l'éducation dans les monarcspanes. - III. De l'éducation dans le gouvernement despotique. - IV. Difference des effets de l'éducation chez les anciens et parmi nous. - V. De l'éducation dans le gouvernement républicain. - VI. De quelques institutions des Grecs. - VII. En quel cas ces institutions singulières peuvent être bonnes. - VIII. Explication d'un paradoxe des anciens, par rapport aux moeurs.Page 29 à 40

LIVRE V. - Les lois que le législateur donne doivent être relatives au principe du gouvernement.

I. Idée de ce livre. - II. Ce que c'est que la vertu dans l'État politique. - III. Ce que c'est que I'amour de la république dans la démocratie. - IV. Comment on inspire I'amour de l'égalité et de la frugalité. - V. Comment les lois établissent l'égalité dans la démocratie. - VI. Comment les lois doivent entretenir la trugalite dans la démocratie. - VII. Autres moyens de favoriser le principe de la démocratie. - VIII. Comment les lois doivent se rapporter au principe du gouvernement dans l'aristocratie. - IX. Comment les lois sont relatives à leur principe. - X. De la promptitude de l'exécution dans la monarcspane. - XI. De l'excellence du gouvernement monarcspanque. - XII. Continuation du même sujet. - XIII. Idée du despotisme. - XIV. Comment les lois sont relatives au principe du gouvernement despotique. - XV. Continuation du même sujet. - XVI. De la communion du pouvoir. - XVII. Des présents. - XVIII. Des récompenses que le souverain donne. - XIX. Nouvelles conséquences des principes des trois gouvernements.Page 40 à 69

LIVRE VI. - Conséquences des principes des gouvernements, par rapport à la simplicité des lois civiles et criminelles, la forme des jugements et l'établissement des peines.

I. De la simplicité des lois civiles dans les divers gouvernements. - II. De la simplicité des lois criminelles dans les divers gouvernements. - III Dans quels gouvernements et dans quels cas on doit juger selon un texte précis de la loi. - IV. De la manière de former les jugements. - V. Dans quels gouvernements le souverain peut être juge. - VI. Que, dans la monarcspane, les ministres ne doivent pas juger. - VII. Du magistrat unique. - VIII. Des accusations dans les divers gouvernements. - IX. De la sévérité des peines dans les divers gouvernements. - X. Des anciennes lois françaises. - XI. Que lorsqu'un peuple est vertueux, il faut peu de peines. - XII. De la puissance des peines. - XIII. Impuissance des lois japonaises. - XIV. De l'esprit du sénat de Rome. - XV. Des lois des Romains a l'egard des peines. - XVI. De la proportion des peines avec le crime. - XVII. De la torture ou question contre les criminels. - XVIII Des peines pécuniaires et des peines corporelles. - XIX. De la loi du talion. - XX. De la punition des pères pour leurs enfants. - XXI. De la clémence du prince.Page 69 à 91

LIVRE VII. - Conséquences des différents principes des trois gouvernements, par rapport aux lois somptuaires, au luxe et à la condition des femmes.

I. Du luxe. - II. Des lois somptuaires dans la démocratie. - III. Des lois somptuaires dans l'aristocratie. - IV. Des lois somptuaires dans les monarcspanes. - V. Dans quels cas les lois somptuaires sont utiles dans une monarcspane. - VI. Du luxe à la Cspanne. - VII. Fatale conséquence du luxe à la Cspanne. - VIII. De la continence publique. - IX. De la condition des femmes dans les divers gouvernements. - X. Du tribunal domestique chez les Romains. - XI. Comment les institutions changèrent à Rome avec le gouvernement. - XII. De la tutelle des femmes chez les Romains. - XIII. Des peines établies par les empereurs contre les débauches des femmes. - XIV. Lois somptuaires chez les Romains. - XV. Des dots et des avantages nuptiaux dans les diverses constitutions. - XVI. Belle coutume des Sunnites.- XVII. De l'administration des femmes.Page 91 à 104

LIVRE VIII. - De la corruption des principes des trois gouvernements.

Idée générale de ce livre. - II. De la corruption du principe de la démocratie. - III. De l'esprit d'égalité extrême. - IV. Cause particulière de la corruption du peuple. - V. De la corruption du principe de l'aristocratie. - VI. De la corruption du principe de la monarcspane. - VII. Continuation du même sujet. - VIII. Danger de la corruption du principe du gouvernement monarcspanque. - IX. Combien la noblesse est portée à défendre le trône. - X. De la corruption du principe du gouvernement despotique. - XI. Effets naturels de la honté et de la corruption des principes. - XII. Continuation sur le même sujet. - XIII. Effet du serment chez un peuple vertueux. - XIV. Comment le plus petit changement dans la constitution entraîne la ruine des principes. - XV. Moyens très-efficaces pour la conservation des trois principes. - XVI. Propriétés distinctives de la république. - XVII. Propriétés distinctives de la monarcspane. - XVIII. Que la monarcspane d'Espagne etoit dans un cas particulier. - XIX Propriétes distinctives du gouvernement despotique. - XX. Conséquence des chapitres précedents. - XXI. De l'empire de la Cspanne.Page 105 à 120

LIVRE IX. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec la force défensive.

Comment les républiques pourvoient à leur sûreté. - II. Que la constitution fédérative doit être composée d'Etats des même nature, surtout d'Etats républicains. - III. Autres Choses requises dans la république fédérative. - IV. Comment les Etats despotiques pourvoient à leur sûreté. - V. Comment la monarcspane pourvoit à sa sûreté. - VI. De la force défensive des Etats en général. - VII. Reflexions. - VIII. Cas où la force défensive d'un Etat est inférieure la force offensive. - IX. De la force relative des Etats. - X. De la faiblesse des Etats voisins.Page 120 à 126

LIVRE X. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec la force offensive.

I. De la force offensive. - II. De la guerre. - III. Du droit de conquête. - IV. Quelques avantages du peuple conquis. - V. Gelon, roi de Syracuse. - VI. D'une république qui conquiert. - Vil. Continuation du même sujet. - VIII. Continuation du même. - IX. D'une monarcspane qui conquiert autour d'elle. - X. D'une monarcspane qui conquiert une autre monarcspane. - XI. Des moeurs du peuple vaincu. - XII. D'une loi de Cyrus. - XIII. Charles XII. - XIV. Alexandre. - XV. Nouveaux moyens de conserver la conquête. - XVI. D'un État despotique qui conquiert. - XVII. Continuation du même sujet.Page 126 à 140

LIVRE XI. - Des lois qui forment la liberté politique dans son rapport avec la constitution.

I. Idée générale. - II. Diverses significations données au mot de liberté. - III. Ce que c'est que la liberté. - IV. Continuation du même sujet. - V. De l'objet des Etats divers. - VI. De la constitution d'Angleterre. - VII Des monarcspanes que nous connaissons. - VIII. Pourquoi les anciens n'avaient pas une idée bien claire de la monarcspane. - IX. Manière de penser d'Aristote. - X. Manière de penser des auteurs politiques. - XI. Des rois des temps héroïques chez les Grecs. - XII. Du gouvernement des rois de Rome, et comment les pouvoirs y furent distribués. - XIII. Réflexions générales sur l'état de Rome après l'expulsion des rois. - XIV. Comment la distribution des trois pouvoirs commença à changer après l'expulsion des rois. - XV. Comment, dans l'état florissant de la république, Rome perdit tout à coup sa liberté. - XVI. De la puissance législative dans la republique romaine. - XVII. De la puissance exécutrice dans la même république. - XVIII. De la puissance de juger dans le gouvernement de Rome. - XIX. Du gouvernement des provinces romaines. - XX. Fin de ce livre.Page 140 à 170

LIVRE XII. - Des lois qui forment la liberté politique dans son rapport avec le citoyen.

I. Idée de ce livre. - II. De la liberté du citoyen. - III. Continuation du même sujet. - IV. Que la liberté est favorisée par la nature des peines et leur proportion. - V. De certaines accusations qui ont particulièrement besoin de modération et. de prudence. - VI. Du crime contre nature. - VII. Du crime de lèse-majeste. - VIII. De la mauvaise application du nom de crime, de sacrilège et de lèse-majesté. - IX. Continuation du même sujet. - X. Continuation du même sujet. - XI. Des pensées. - XII. Des paroles indiscretes. - XIII. Des écrits. - XIV. Violation de la pudeur dans la punition des crimes. - XV. De l'affrancspanssement de l'esclave pour accuser le maître. - XVI. Calomnie dans le crime de lèse-majesté. - XVII. De la révélation des conspirations. - XVIII. Combien il est dangereux dans les républiques, de trop punir le crime de lèse-majesté. - XIX. Comment on suspend l'usage de la liberté dans la république. - XX. Des lois favorables à la liberté du citoyen dans la république. - XXI. De la cruauté des lois envers les debiteurs dans la république - XXII. Des choses qui attaquent la liberté dans la monarcspane. - XXIII. Des espions dans la monarcspane. - XXIV. Des lettres anonymes. - XXV. De la manière de gouverner, dans la monarcspane. - XXVI. Que, dans la monarcspane, le prince doit être - XXVII. Des moeurs du monarque. - XXVIII. Des égards que les monarques doivent à leurs sujets. XXIX. Des lois civiles propres mettre un peu de liberté dans le gouvernement despotique - XXX. Continuation du même sujet.Page 171 à 194

LIVRE XIII. - Des rapports que la levée des tributs et la grandeur des revenus publics ont avec la liberté.

I. Des revenus de l'Etat. - II. Que c'est mal raisonner de dire que la grandeur des tributs soit bonne pour elle-même. - III. Des tributs, dans les pays où une partie du peuple est esclave de la glèbe. - IV. D'une république, en cas pareil. - V. D'une monarcspane, en cas pareil. - VI. D'un Etat despotique, en cas pareil. - VII. Des tributs, dans les pays où l'esclavage de la glèbe n'est point établi. - VIII. Comment on conserve l'illusion. - IX. D'une mauvaise sorte d'impôt. - X. Que la grandeur des tributs dépend de la nature du gouvernement.- XI. Des peines fiscales. - XII. Rapport de la grandeur des tributs avec la liberté. - XIII. Dans quels gouvernements les tributs sont susceptibles d'augmentation. - XIV. Que la nature des tributs est relative au gouvernement. - XV. Abus de la liberté. - XVI. Des conquêtes des mahometans. - XVII. De l'augmentation des troupes. - XVIII. De la remise des tributs. - XIX. Qu'est-ce qui est plus convenable au prince et au peuple, de la ferme ou de la regie des tributs? - XX. Des traitants.Page 194 à 206

LIVRE XIV. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec la nature du climat.

I. Idée générale. - II. Combien les hommes sont différents dans les divers climats. - III. Contradiction dans les caractères de certains peuples du Midi. - IV. Cause de l'immutabilité de la religion, des moeurs, des manières, des lois, dans les pays d'Orient. - V. Que les mauvais législateurs sont ceux qui ont favorise les vices du climat; et les bons sont ceux qui s'y sont opposes. - VI. De la culture des terres dans les climats chauds. - VII. Du monacspansme. - VIII. Bonne coutume de la Cspanne. - IX. Moyens d'encourager l'industrie. - X. Des lois qui ont rapport à la sobriété des peuples. - XI. Des lois qui ont rapport aux maladies du climat. - XII. Des lois contre ceux qui se tuent eux-mêmes. - XIII. effets qui résultent du climat d'Angleterre. - XIV. Autres effets du climat. - XV. De la differente confiance que les lois ont dans le peuple, selon les climats.Page 206 à 219

LIVRE XV. - Comment les lois de l'esclavage civil ont du rapport avec la nature du climat.

I. De l'esclavage civil. - II. Origine du droit d'esclavage, chez les jurisconsultes romains. - III. Autre origine du droit de l'esclavage. - IV. Autre origine du droit de l'esclavage. - V. De l'esclavage des Nègres. - VI. Véritable origine du droit de l'esclavage. - VII. Autre origine du droit de l'esclavage. - VIII. Inutilité de l'esclavage parmi nous. - IX. Des nations chez lesquelles la liberté civile est généralement établie. X. Diverses espèces d'esclavage. - XI. Ce que les lois doivent faire par rapport à l'esclavage. - XII. Abus de l'esclavage. - XIII. Danger du grand nombre d'enclaves. - XIV. les enclaves armés. - XV. Continuation du même sujet. - XVI. Précautions à prendre dans le gouvernement modere. - XVII. Règlements à taire entre le maître et les esclaves. - XVIII. Des affrancspanssements. - XIX. Des affrancspans et des eunuques.Page 219 à 235

LIVRE XVI. - Comment les lois de l'esclavage domestique ont du rapport avec la nature du climat.

I. De la servitude domestique. - II. Que, dans les pays du Midi, il y a dans les deux sexes une inégalité naturelle. - III. Que la pluralité des femmes dépend beaucoup de leur entretien. - IV. De la polygamie; ses diverses circonstances. - V. Raison d'une loi de Malabar. VI. De la polygamie en elle-même. - VII. De l'égalité du traitement dans le cas de la pluralité des femmes. - VIII. De la séparation des femmes d'avec les hommes. - IX. Liaison du gouvernement domestique avec la politique. - X. Principe de la morale de l'Orient. - XI. Le la servitude domestique indépendante de la polygamie. - XII. De la pudeur naturelle. - XIII. De la jalousie. - XIV. Du gouvernement de la maison en Orient. - XV. Du divorce et de la répudiation. - XVI. De la répudiation et du divorce chez les Romains.Page 235 à 247

LIVRE XVII. - Comment les lois de la servitude politique ont du rapport avec la nature du climat.

I. De la servitude politique. - II. Différence des peuples par rapport au courage. - III. Du climat de l'Asie. - IV. Conséquence de ceci. - V. Que quand les peuples du nord de l'Asie et ceux de l'Europe ont conquis, les effets de la conquête n'etoient pas les mêmes. - VI. Nouvelle cause physique de la servitude de l'Asie et de la liberté de l'Europe. - VII. De l'Afrique et de l'Amerique.- VIII. De la capitale de l'empire.Page 247 à 253

LIVRE XVIII. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec la nature du terrain.

I. Comment la nature du terrain influe sur les lois. - II. Continuation du même sujet. - III. Quels sont les pays les plus cultivés. - IV. Nouveaux effets de la fertilité et de la sterilite du pays. - V. Des peuples des îles. - VI. Des pays formes par l'industrie des hommes. - VII. Des ouvrages des hommes. - VIII Rapport général des lois. - IX. Du terrain de l'Amérique. - X. Du nombre des hommes, dans le rapport avec la manière dont ils se procurent la subsistance. - XI. Des peuples sauvages et des peuples barbares. - XII. Du droit des gens chez les peuples qui ne cultivent point les terres. - XIII. Des lois civiles chez les peuples qui ne cultivent point les terres. - XIV. De l'état politique des peuples qui ne cultivent point les terres. - XV. Des peuples qui connoissent l'usage de la monnoie. - XVI. Des lois civiles chez les peuples qui ne connoissent point l'usage de la monnoie, - XVII. Des lois politiques chez les peuples qui n'ont point l'usage de la monnoie. - XVIII. Force de la superstition. - XIX. De la liberté des Arabes, et de la servitude des Tartares. - XX. Du droit des gens des Tartares. - XXI. Lois civiles des Tartares. - XXII. D'une loi civile des peuples germains. - XXIII. De la longue chevelure des rois francs. - XXIV. Des mariages des rois francs. - XXV. Cspanldéric. - XXVI. De la majorité des rois francs. - XXVII. Continuation du même sujet. - XXVIII. De l'adoption chez les Germains. - XXIX. Esprit sanguinaire des rois francs. - XXX. Des assemblées de la nation chez les Francs. - XXXI. De l'autorité du clergé dans la première race.Page 253 à 273

LIVRE XIX. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec les principes qui forment l'esprit général, les moeurs et les manières d'une nation.

I. Du sujet de ce livre. - II. Combien, pour les meilleures lois, il est nécessaire que les esprits soient préparés. - III. De la tyrannie. - IV. Ce que c'est que l'esprit général. - V. Combien il faut être attentif à ne point changer l'esprit général d'une nation. - VI. Qu'il ne faut pas tout corriger. - VII. Des Athéniens et des Lacédémoniens. - VIII. Effets de l'humeur sociale. - IX. De la vanité et de l'orgueil des nations. - X. Du caractère des Espagnols et de celui des Cspannois. - XI. Réflexion. - XII. Des manières et des moeurs dans l'état despotique. - XIII. Des manières chez les Cspannois. - XIV. Quels sont les moyens naturels de changer les moeurs et les manières d'une nation. - XV. Influence du gouvernement domestique sur la politique. - XVI. Comment quelques législateurs ont confondu les principes qui gouvernent les hommes. - XVII. Propriété particulière au gouvernement de la Cspanne. - XVIII. Conséquence du chapitre précédent.- XIX. Comment s'est faite cette union de la religion, des lois, des moeurs et des manières, chez les Cspannois. - XX. Explication d'un paradoxe sur les Cspannois. - XXI. Comment les lois doivent être relatives aux moeurs et aux manières. - XXII. Continuation du même sujet. - XXIII. Comment les lois suivent les moeurs. - XXIV. Continuation du même sujet. - XXV. Continuation du même sujet. - XXVI. Continuation du même sujet. - XXVII. Comment les lois peuvent contribuer à former les moeurs, les manières et le caractère d'une nation.Page 273 à 296

LIVRE XX. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec le commerce considéré dans sa nature et ses distinctions.

I. Du commerce. - II. De l'esprit du commerce. - III. De la pauvreté des peuples. - IV. Du commerce dans les divers gouvernements. - V. Des peuples qui ont fait le commerce d'économie. - VI. Quelques effets d'une grande navigation. - VII. Esprit de l'Angleterre sur la commerce. - VIII. Comment on a gêne quelquefois le commerce d'economie. - IX. De l'exclusion en fait de commerce. - X. Etablissement propre au commerce d'économie. - XI. Continuation du même sujet. - XII. De la liberté du commerce. - XIII. Ce qui détruit cette liberté - XIV. Des lois du commerce qui emportent la confiscation des marchandises. - XV. De la contrainte par corps. - XVI. Belle loi. - XVII. Loi de Rhodes. - XVIII. Des juges pour le commerce. - XIX. Que le prince ne doit point faire le commerce. - XX. Continuation du même sujet. - XXI. Du commerce de la noblesse dans la monarcspane. - XXII. Reflexion particulière. - XXIII. A quelles nations il est désavantageux de faire le commerce.Page 296 à 310

LIVRE XXI. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec le commerce considéré dans les révolutions qu'il a eues dans le monde.

I. Quelques considérations générales. - II. Des peuples d'Afrique. - III. Que les besoins des peuples du Midi sont differents de ceux des peuples du Nord - IV. Principale différence du commerce des anciens d'avec celui d'aujourd'hui. - V. Autres différences. - VI. Du commerce des anciens. - VII. Du commerce des Grecs. - VIII. D'Alexandre. - Sa conquête. IX. Du commerce des rois grecs après Alexandre. - X. Du tour de l'Afrique. - XI. Certhage et Marseille. - XII. Ile de Délos. - Mithridate. - XII. Du génie des Romains pour la marine. - XIV. Du génie des Romains pour le commerce. - XV. Commerce des Romains avec les barbares. - XVI. Du commerce des Romains avec l'Arabie et les Indes. - XVII. Du commerce après la destruction des Romains en Occident. - XVIII. Règlement particulier. - XIX. Du commerce depuis l'affaiblissement des Romains en Orient. - XX. Comment le commerce se fit jour en Europe à travers la barbarie. - XX. Decouverte de deux nouveaux mondes; état de l'Europe à cet égard. - XXII. Des richesses que l'Espagne tira de l'Amerique. - XXIII. Problème.Page 311 à 350

LIVRE XXII. - Des lois dans les rapports qu'elles ont avec l'usage de la monnoie.

I. Raison de l'usage de la monnoie. - II. De la nature de la monnoie. - III. Des monnoie. idéales. - IV. De la quantité de l'or et de l'argent. - V. Continuation du même sujet. - VI. Par quelle raison le prix de l'usure diminua de la moitié lors de la découverte des Indes. - VII. Comment le prix des choses se fixe dans la variation des richesses de signe. - VIII. Continuation du même sujet. - IX De la rareté relative de l'or et de l'argent. - X. Du change. - XI. Des opérations que les Romains firent sur les monnoies. - XII Circonstances dans lesquelles les Romains firent leurs opérations sur la monnoie. - XIII. Opérations sur les monnoies du temps des empereurs. - XIV. Comment le change gêne, les États despotiques. - XV. Usage de quelques pays d'Italie. XVI. Du secours que l'État peut tirer des banquiers. - XVII. Des dettes publiques. - XVIII. Du payement des dettes publiques. - XIX. Des prêts à intérêt. - XX. Des usures maritimes - XXI. Du prêt par contrat, et de l'usure chez les Romains. - XXII. Continuation du même sujet.Page 351 à 378

LIVRE XXIII. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec le nombre des habitants.

I. Des hommes et des animaux, par rapport à la multiplication de leur espèce. - II. Des mariages. - III. De la condition des enfants. - IV. Des familles. - V. De divers ordres de femmes légitimes. - VI. Des bâtards dans les divers gouvernements. - VII. Du consentement des pères en mariage. - VIII. Continuation du même sujet. - IX. Des filles. - X. Ce qui détermine au mariage. - XI. De la dureté du gouvernement. - XII. Du nombre des filles et des garçons dans différents pays. - XIII. Des ports de mer. - XIV. Des productions de la terre qui demandent plus ou moins d'hommes. - XV. Du nombre des habitants par rapport aux arts. - XVI. Des vues du législateur sur la propagation de l'espèce. - XVII. De la Grèce, et du nombre de ses habitants. - XVIII. De l'état des peuples avant les Romains. - XIX. Dépopulation de l'univers. - XX. Que les Romains furent dans la nécessité de faire des lois pour la propagation de l'espèce. - XXI. Des lois des Romains sur la propagation de l'espèce. - XXII. De l'exposition des enfants. - XXIII. De l'etat de l'univers après la destruction des Romains. - XXIV. Changements arrivés en Europe par rapport au nombre des habitants. - XXV. Continuation du même sujet. - XXVI. Conséquences. - XXVII. De la loi faite en France pour encourager la propagation de l'espèce. - XXVIII Comment on peut remédier à la dépopulation. - XXIX. Des hôpitaux.Page 378 à 402

LIVRE XXIV. - Des luis dans le rapport qu'elles ont avec la religion établie dans chaque pays, considérée dans ses pratiques et en elle-même.

Des religions en général. - II. Paradoxe de Bayle. - III. Que le gouvernement modéré convient mieux à la religion chrétienne, et le gouvernement despotique à la maboquétane. - IV. Conséquences du caractère de la religion chrétienne et de celui de la religion mahométane. - V. Que la religion catholique convient mieux à une monarcspane, et que la protestante s'accommode mieux d'une république. - VI. Autre paradoxe de Bayle. VII. Des lois de persection dans la religion. - VII. De l'accord des lois de la morale avec celles de la religion. - IX. Des Esseens. - X. De ta secte stoïque. - XI. De la contemplation. - XII. Des penitences. - XIII. Des crimes inexpiables. - XIV. Comment la force de la religion s'applique à celle des lois civiles. - XV. Comment les lois civiles corrigent quelquefois les fausses religions. - XVI. Comment les lois de la religion corrigent les inconvenients de la constitution politique. - XVII. Continuation du même sujet. - XVI. Comment les lois de la religion ont l'effet des lois civiles. - XIX. Que c'est moins la vérité ou la fausseté d'un dogme qui le rend utile ou perni ieux aux hommes dans l état civil, que l'usage ou l'abus que l'on en fait. - XX. Continuation du même sujet. - XXI. De la melempsycose. - XXII. Combien d est dangereux que la religion inspire de l'horreur pour des choses indifferentes. - XXIII. Des fêtes. - XXIV. Des lois de religion locales. - XXV. Inconvénient du transport d'une religion d'un pays à un autre. - XXVI. Continuation du même sujet.Page 403 à 419

LIVRE XXV. - Des lois dans le rapport qu'elles ont avec l'établissement de la religion de chaque pays et sa police extérieure.

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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Charles-Louis de Secondat Montesquieu, François Voltaire, Jean-Baptiste-Louis Crevier
Collection Sciences sociales
Parution 01/03/2021
Nb. de pages 694
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 949g
EAN13 9782329591360

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