L'agnelle et la professoresse (2 tranches de vie saisies à point)
(2 tranches de vie saisies à point)
276 pages, parution le 30/06/2020
Résumé
Ce livre aurait pu s'intituler « Initiales A. C. » puisqu'il réunit, à la manière des deux faces d'une médaille, les portraits de deux femmes aux initiales identiques qui ont croisé les chemins de traverse d'Yves-Ferdinand Bouvier, la première rayonnante dans l'anonymat de la foule, la seconde cachée dans l'ombre des vedettes :
- « Chantepleure et pattemouille » est la chronique fidèle des amours adolescentes de la jeune Agnès Carvin qui se persuade que l'authenticité de ses sentiments triomphera de tous les obstacles ;
- « L'allumeuse d'étoiles » est le témoignage d'une année vécue aux côtés de la célèbre professoresse de chant de la rue Ordener, Annette Charlot, qui se donne en totalité avec la fougue des vieillards généreux.
« L'Agnelle et la professoresse (2 tranches de vie saisies à point) » forme ainsi, avec « Le Manteau de joie (2 vies sans histoires) », un diptyque consacré à des biographies de figures féminines qui semblaient prédestinées à nourrir les pages d'un livre.
- « Chantepleure et pattemouille » est la chronique fidèle des amours adolescentes de la jeune Agnès Carvin qui se persuade que l'authenticité de ses sentiments triomphera de tous les obstacles ;
- « L'allumeuse d'étoiles » est le témoignage d'une année vécue aux côtés de la célèbre professoresse de chant de la rue Ordener, Annette Charlot, qui se donne en totalité avec la fougue des vieillards généreux.
« L'Agnelle et la professoresse (2 tranches de vie saisies à point) » forme ainsi, avec « Le Manteau de joie (2 vies sans histoires) », un diptyque consacré à des biographies de figures féminines qui semblaient prédestinées à nourrir les pages d'un livre.
L'auteur - Yves-Ferdinand Bouvier
Né le 12 décembre 1968 à Genève, Yves-Ferdinand Bouvier est attiré très tôt par l’écriture. Il publie son premier article, une critique de bande dessinée, dans le supplément culturel hebdomadaire de la Tribune de Genève du 5 juin 1986. Il signe alors de son anagramme Boris Veuvey, et poursuit cette collaboration jusqu’au 2 octobre 1987.
Donnant volontairement la priorité au vécu qui nourrira ses livres et ses chansons, il prend une longue pause dans ses études. Tout en voyageant à travers la France et l’Italie, il publie en avril 1992 son premier texte de création, un poème, dans la revue Vents et marées. Près de 200 publications suivront au fil des années, dans des revues aussi diverses que Poésie sur Seine, Arpa ou Le Matin déboutonné pour la poésie, Oniros, Antidata ou La Femelle du requin pour les nouvelles, GG@G (Generative Grammar in Geneva) ou Snippets pour la linguistique.
En octobre 1995, il reprend ses études à la Faculté des Lettres de l’Université de Genève, où il se spécialise dans la littérature italienne médiévale et la linguistique générale. Il collabore activement au journal Courants, publication bimensuelle entièrement réalisée par les étudiants des diverses facultés et diffusée à 4000 exemplaires sur le campus. Il y anime les rubriques de critique musicale et de création littéraire, avant de devenir rédacteur en chef de 1998 à 2000. Il se consacre ensuite à sa thèse de doctorat en linguistique, A featural account of polarity phenomena, qu’il soutient avec succès le 23 février 2002.
C’est au cours de ses études qu’il chante ses premières chansons en public, lors des garden-party du campus, mais aussi à l’hôpital de Genève et dans des kermesses en Haute-Savoie. Prenant goût à chanter ses textes, il monte à Paris le 10 octobre 2002. Le 15 mai 2003, il rencontre Annette Charlot, qui lui donne ses premiers cours de chant et d’interprétation.
En décembre 2005, il publie chez Bartillat une édition commentée de l’œuvre en vers de Serge Gainsbourg, sous le titre L’intégrale et cætera, qui devient un ouvrage de référence. Puis, constatant qu’il n’existait aucun dictionnaire de rimes conçu pour l’écriture de chansons, il conçoit La Rime pratique pour les auteurs de chanson et de poésie sonore, qu’il publie en mai 2010 aux éditions Campioni.
Le 24 avril 2010, sa chanson « Menu omnivore » obtient le premier prix d’écriture au concours de la Médaille d’or de la chanson de Saignelégier, en Suisse. Tout en continuant de se perfectionner au métier de chanteur avec Tristan Haspala, il publie coup sur coup cinq albums singuliers : Space Hotel et le songbook éponyme (2011), Om è un re (2012), Côté cool <=> Côté marin (2013), Chant poing (2014) et Mots zarbes et bite au vent (2016), qui le positionnent comme une figure incontournable de la nouvelle scène alternative.
Donnant volontairement la priorité au vécu qui nourrira ses livres et ses chansons, il prend une longue pause dans ses études. Tout en voyageant à travers la France et l’Italie, il publie en avril 1992 son premier texte de création, un poème, dans la revue Vents et marées. Près de 200 publications suivront au fil des années, dans des revues aussi diverses que Poésie sur Seine, Arpa ou Le Matin déboutonné pour la poésie, Oniros, Antidata ou La Femelle du requin pour les nouvelles, GG@G (Generative Grammar in Geneva) ou Snippets pour la linguistique.
En octobre 1995, il reprend ses études à la Faculté des Lettres de l’Université de Genève, où il se spécialise dans la littérature italienne médiévale et la linguistique générale. Il collabore activement au journal Courants, publication bimensuelle entièrement réalisée par les étudiants des diverses facultés et diffusée à 4000 exemplaires sur le campus. Il y anime les rubriques de critique musicale et de création littéraire, avant de devenir rédacteur en chef de 1998 à 2000. Il se consacre ensuite à sa thèse de doctorat en linguistique, A featural account of polarity phenomena, qu’il soutient avec succès le 23 février 2002.
C’est au cours de ses études qu’il chante ses premières chansons en public, lors des garden-party du campus, mais aussi à l’hôpital de Genève et dans des kermesses en Haute-Savoie. Prenant goût à chanter ses textes, il monte à Paris le 10 octobre 2002. Le 15 mai 2003, il rencontre Annette Charlot, qui lui donne ses premiers cours de chant et d’interprétation.
En décembre 2005, il publie chez Bartillat une édition commentée de l’œuvre en vers de Serge Gainsbourg, sous le titre L’intégrale et cætera, qui devient un ouvrage de référence. Puis, constatant qu’il n’existait aucun dictionnaire de rimes conçu pour l’écriture de chansons, il conçoit La Rime pratique pour les auteurs de chanson et de poésie sonore, qu’il publie en mai 2010 aux éditions Campioni.
Le 24 avril 2010, sa chanson « Menu omnivore » obtient le premier prix d’écriture au concours de la Médaille d’or de la chanson de Saignelégier, en Suisse. Tout en continuant de se perfectionner au métier de chanteur avec Tristan Haspala, il publie coup sur coup cinq albums singuliers : Space Hotel et le songbook éponyme (2011), Om è un re (2012), Côté cool <=> Côté marin (2013), Chant poing (2014) et Mots zarbes et bite au vent (2016), qui le positionnent comme une figure incontournable de la nouvelle scène alternative.
Autres livres de Yves-Ferdinand Bouvier
Caractéristiques techniques
| PAPIER | |
| Éditeur(s) | Campioni |
| Auteur(s) | Yves-Ferdinand Bouvier |
| Parution | 30/06/2020 |
| Nb. de pages | 276 |
| Format | 15 x 24 |
| Couverture | Broché |
| Poids | 429g |
| EAN13 | 9791094758120 |
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