L'amour palimpseste

Pour la première fois depuis leur parution, et un prix de poésie de l'Académie française, les deux livres de poèmes d'Olympia Alberti, L'Amour palimpseste et Coeur rhapsodie coeur absolu, sont ici réédités, avec une troisième partie, inédite, Divines empreintes. La joie continue, et l'amour, et la création. Car, comme l'écrit Emily Dickinson : Mon heure était venue de prier - tout autre art était vain. L'Amour, cet éblouissement de l'âme, est un cadeau de Dieu à qui se donne et ne craint pas l'épreuve (O. A.)... La ferveur n'a plus de prix, son œuvre en déborde (André Brincourt, Le Figaro, 1982). Ses poèmes sont une flamme, un corps ardent, bientôt renversé, la morsure, la nuit immémoriale du désir. Cette jeune femme est blessée d'amour (Charles Le Quintrec, La Revue des Deux Mondes, 1983). Tout ici invite au festin. Un livre de prières : telle est ma définition de L'Amour palimpseste (Vénus Khoury-Ghata, Le Figaro). La plus dense et la plus éblouissante des langues (Jean Christian, Nouvelles d'Alsace). AUTEUR Olympia Alberti, qui vit à Nice, a publié plus d'une trentaine d'ouvrages (romans, poèmes, nouvelles, essais, biographies...). Docteur ès lettres en littérature comparée, elle est spécialiste de Rilke, Colette, Giono, Virginia Woolf et Marguerite Duras. Elle anime aussi des ateliers d'écriture. Elle a notamment reçu un prix de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre poétique, le prix Thyde Monnier de la SGDL pour Rilke, sans domicile fixe, et le prix Émile Faguet de la critique littéraire de l'Académie française pour Giono, le grand western. Parmi ses derniers ouvrages, citons Le Royaume de sa nuit. Mère Teresa, le récit d'une vie (2010), L'Amour dans l'âme, le journal disparu d'Etty Hillesum (2011) et chez Salvator L'Or perdu de la joie (2012).