Swiss i.d

Richard Liardet

254 pages, parution le 28/05/2013

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Résumé

« Des flashs obscurs, une montée aux enfers. » Un beau matin, je m'embarque Swiss I.D du jeune auteur suisse Richard Liardet, sans savoir ce que contient son manuscrit. Mais très vite, je trouve mes repères, un environnement familier et des attitudes que l'on ne peut qu'avoir vécues pour les décrire si honnêtement. Des personnages sincères et des émotions brutes, décrites avec un zeste de recul et une pincée d'autodérision. Clairement le bougre connaît son brown sugar sur le bout des narines. Alors, encore un testament de junkie repenti ? Pas du tout, ça dépasse le sujet à dix mille, et tous les ingrédients pour faire un bon roman y sont réunis. Une odyssée humaine comme on les aime. Je vous recommande d'arrêter le match de foot et de vous y plonger sans plus attendre. Éric Vieljeux, La 13e note édition. Dans Swiss I.D - prononcez « suicidé » -, Richard Liardet se raconte sans détour. Il nous livre son expérience, celle d'un Suisse presque comme les autres. C'est peu dire que le chemin est tortueux, mais il avance coûte que coûte sur la voie qu'il a choisie. Explorant les plaisirs psychotropes à l'adolescence, il finit par se découvrir de réelles affinités avec la drogue. Commence alors une vie dans les squats genevois, où il découvre la musique électronique, Ibiza, l'amour, la mort... Inexorablement, il plonge dans les méandres de la toxicomanie. Mais les cycles de la vie sont ainsi faits : la destruction fait place à la vie, pour qui sait être opiniâtre. C'est à force d'obstination que Richard Liardet avance sur le chemin de la délivrance. L'amour, rédempteur, lui ouvre la porte du bonheur ; l'opportunité d'accéder enfin la paix de l'âme se présente. Et il va sans dire qu'il saura la saisir...