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Réflexions sur la première décade de tite-live. nouvelle traduction. Tome 2
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Réflexions sur la première décade de tite-live. nouvelle traduction. Tome 2

Réflexions sur la première décade de tite-live. nouvelle traduction. Tome 2

Nicolas Machiavel - Collection Philosophie

484 pages, parution le 31/07/2023

Résumé

Réflexions de Machiavel sur la première décade de Tite-Live Nouvelle traduction précédée d'un discours préliminaire par M. D. M. M. D. R.. Tome 2
Date de l'édition originale : 1782

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

L'auteur - Nicolas Machiavel

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Sommaire

TABLE DES CHAPITRES.

LIVRE PREMIER.

  • DISCOURS PRÉLIMINAIRE, page 1
  • AVANT-PROPOS,127
  • CHAP. I. Des commencements des villes en général, & de ceux de Rome,130
  • CHAP. II. Des différentes formes des républiques & quelle fut la forme de la république romaine,137
  • CHAP. III. Des causes de la création des tribuns du peuple à Rome. Que leur établissement perfectionna la constitution,148
  • CHAP. IV. Que la désunion du peuple & du sénat produisît la liberté & la puissance de la république,151
  • CHAP. V. A qui peut-on confier plus sûrement la garde de la liberté, aux grands ou au peuple? & lequel des deux cause plus souvent des troubles de celui qui veut acquérir ou de celui qui veut conserver?155
  • CHAP. VI. S'il étoit possible de couper racine aux brouilleries du peuple & du sénat,160
  • CHAP. VII. Combien il importe à la liberté d'autoriser les accusations,169
  • CHAP. VIII. Qu'autant les accusations peuvent être utiles dans une république, autant la calomnie y est pernicieuse,175
  • CHAP. IX. Qu'il faut être seul pour fonder une république, ou pour la réformer sur un nouveau plan,181
  • CHAP. X. Qu'autant il est dû de louanges aux fondateurs d'une république ou d'une monarcspane, autant il est juste de blâmer les auteurs d'un gouvernement tyrannique,186
  • CHAP. XI. De la religion des Romains,193
  • CHAP. XII. Qu'il est important d'avoir des égards pour la religion, & que l'Italie, pour avoir manqué à ces égards, & par les intrigues de la cour de Rome, s'est entièrement perdue,200
  • CHAP. XIII. Comment les Romains se servoient de la religion pour établir des loix, favoriser leurs entreprises, & arrêter les séditions,207
  • CHAP. XIV. Que les Romains interprétoient les auspices suivant le besoin qu'ils en avoient: que lorsqu'ils étoient forcés par les circonstances d'en négliger l'observation, ils avoient au moins la prudence de faire semblant de s'y conformer, & qu'ils en punissoient le mépris téméraire,212
  • CHAP. XV. De quelle maniere les Samnites dans une occasion désespérée eurent recours à la religion,216
  • CHAP. XVI. Qu'un peuple accoutumé à vivre sous un prince ne conserve pas aisément sa liberté si par hasard il devient libre,220
  • CHAP. XVII. Qu'un peuple corrompu qui devient libre ne peut presque pas réussir à conserver sa liberté,228
  • CHAP. XVIII. De la maniere de conserver la liberté dans un Etat corrompu, si par sa constitution il est libre, ou, s'il ne l'est pas, de la lui procurer,233
  • CHAP. XIX. Après un bon commencement, un Etat peut se soutenir sous un prince foible; mais sa perte est inévitable quand le successeur de ce prince foible est foible comme lui,241
  • CHAP. XX. Qu'une succession de deux grands princes produit des effets admirables, & qu'une république qui a nécessairement une succession d'hommes vertueux doit s'étendre & s'augmenter considérablement,245
  • CHAP. XXI. Combien on doit blâmer un prince ou une république qui n'ont point d'armée nationale,246
  • CHAP. XXII. Ce que le combat des Horaces & des Curiaces offre de remarquable,249
  • CHAP. XXIII. Qu'on ne doit point hasarder toute sa fortune avec une partie de ses forces seulement, & qu'il est par conséquent dangereux de se contenter de garder les passages,251
  • CHAP. XXIV. Les républiques bien gouvernées décernent des peines & des récompenses, & ne compensent pas les unes avec les autres,256
  • CHAP. XXV. Quand on veut changer la constitution d'une république libre, on doit au moins conserver quelque ombre de ses anciennes institutions,258
  • CHAP. XXVI. Un prince nouvellement établi dans une ville, ou dans une province conquise, doit changer tout l'ordre des choses,260
  • CHAP. XXVII. Que les hommes sont rarement tout bons ou tout mauvais,262.
  • CHAP. XXVIII. Pourquoi les Romains furent moins ingrats que les Athéniens,264
  • CHAP. XXIX. Qui est le plus ingrat d'un peuple ou d'un prince?267
  • CHAP. XXX. Comment un peuple ou un prince peuvent s'empêcher de tomber dans l'ingratitude, & comment un général ou un citoyen peuvent éviter d'en être les victimes,273
  • CHAP. XXXI. Que les généraux romains ne furent jamais punis pour des fautes d'ignorance, ou pour de mauvaises opérations, lors même que la république en avoir souffert de grands dommages,277
  • CHAP. XXXII. Qu'une république ou un prince ne doivent pas attendre l'instant du péril pour subvenir aux besoins de leurs sujets,281
  • CHAP. XXXIII. Lorsqu'un Etat est menacé par un grand principe de destruction, soit au dedans, soit au dehors, il vaut mieux temporiser avec le mal que de l'attaquer de front,283
  • CHAP. XXXIV. La dictature fit toujours du bien & jamais du mal; & la puissance conférée par les suffrages libres du peuple n'est pas celle qui nuit à la liberté, c'est celle dont un citoyen s'empare lui -même,289
  • CHAP. XXXV. Ce qui rendit la création des décemvirs nuisible à la liberté, quoiqu'elle fût l'ouvrage des suffrages libres du peuple,294
  • CHAP. XXXVI. Que les citoyens qui ont été revêtus des plus grands honneurs ne doivent pas dédaigner les moindres,297
  • CHAP. XXXVII. Des commotions causées à Rome par la loi agraire; qu'il est très dangereux dans une république de proposer une loi tendante à revenir sur le passé, & à corriger un abus très invétéré,299
  • CHAP. XXXVIII. Les républiques foibles ne savent ni délibérer ni prendre un parti; si quelquefois elles en prennent un, c'est plus par nécessité que par choix,305
  • CHAP. XXXIX. Que les mêmes accidents surviennent quelquefois chez différents peuples,311
  • CHAP. XL. De la création des décemvirs & de ce qu'il y a eu de remarquable; où l'on considère, entre autres choses, comment le même accident peut sauver ou perdre un Etat,314
  • CHAP. XLI. Il est imprudent & dangereux de passer sans gradation de la modestie à l'orgueil, & de la douceur à la cruauté,325
  • CHAP. XLII. Combien les hommes se corrompent aisément,326
  • CHAP. XLIII. Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont bons & fideles soldats,327
  • CHAP. XLIV. Une multitude sans chef ne peut rien faire; & l'on ne doit pas se porter à des menaces avant de s'être saisi de l'autorité,329
  • CHAP. XLV. Il est de mauvais exemple de ne pas observer une loi, sur-tout de la part de ceux qui l'ont faite; & rien de plus dangereux pour ceux qui gouvernent une ville, que d'accumuler tous les jours de nouvelles injures,331
  • CHAP. XLVI. L'ambition croît par degrés; on songe d'abord à se défendre, & ensuite à attaquer,335
  • CHAP. XLVII. Que les hommes, quoique sujets à se tromper sur le général, ne se trompent pas sur le particulier,338
  • CHAP. XLVIII. Qui veut empêcher qu'une magistrature ne soit déférée à un homme vil ou méchant, doit la faire demander par un plus vil ou plus méchant encore, ou par ce qu'il y a dans l'Etat de plus illustre & de plus vertueux,345
  • CHAP. XLIX. Si les villes nées libres, comme celle de Rome, ont de la peine à trouver des loix capables de les conserver, c'est une chose presque impossible à celles qui sont nées dans la servitude,346
  • CHAP. L. On ne doit souffrir dans un Etat aucun conseil ni aucune magistrature qui puise arrêter les affaires,351
  • CHAP. LI. Une république ou un prince doivent avoir l'air de se porter généreusement à ce que la nécessité les contraint de faire,354
  • CHAP. LII. Le moyen le plus sûr, le moins scandaleux, de réprimer l'insolence d'un ambitieux qui s'éleve dans une république, c'est de lui fermer les chemins qui le conduiroient à cette élévation,355
  • CHAP. LIII. Souvent un peuple desire sa ruine, trompé par une fausse apparence de bien; on l'échauffe aisément par des espérances séduisantes & des promesses magnifiques,359
  • CHAP. LIV. Combien un grand homme a d'autorité quand il s'agit de calmer une multitude échauffée,366
  • CHAP. LV. Combien toutes choses marchent aisément dans une ville où le peuple n'est point corrompu. Où il y a égalité, il ne peut y avoir de monarcspane; où il n'y en a point, il ne peut y avoir de république,368
  • CHAP. LVI. Les grands changements qui arrivent dans une ville ou dans un Etat sont toujours pronostiqués ou prédits,376
  • CHAP. LVII. Le peuple rassemblé est très courageux; séparé, il est très foible,378
  • CHAP. LVIII. Un peuple est plus sage & plus constant qu'un prince,381
  • CHAP. LIX. Qui est plus fidele à ses alliances, d'une république ou d'un prince?391
  • CHAP. LX. Que les Romains n'avoient aucun égard à l'âge en nommant leurs consuls & leurs magistrats,395

LIVRE SECOND.

  • AVANT-PROPOS, Tome II. page 1
  • CHAP. I. Si la vertu a eu plus de part que la fortune à la grandeur de l'empire romain,8
  • CHAP. II. Quels furent les peuples que les Romains combattirent, & avec quelle obstination ces peuples défendirent leur liberté,15
  • CHAP. III. Rome s'agrandit en ruinant les villes voisines, & en accordant aux étrangers la qualité de citoyens,27
  • CHAP. IV. Les républiques ont employé trois moyens pour s'agrandir,30
  • CHAP. V. Que les changements des religions & des langues & les accidents des déluges & des contagions détruisent la mémoire de toutes choses,40
  • CHAP. VI. Comment les Romains faisoient la guerre.44
  • CHAP. VII. De la quantité de terre que les Romains donnoient à chaque colon,48
  • CHAP. VIII. Des raisons qui obligent un peuple à abandonner sa patrie pour se répandre dans les pays étrangers,49
  • CHAP. IX. Des sujets ordinaires de guerre entre les potentats,56
  • CHAP. X. Que l'argent n'est pas le nerf de la guerre, comme on le croit communément,59
  • CHAP. XI. Il est imprudent de se liguer avec un prince qui a plus de réputation que de force,66
  • CHAP. XII. Si lorsqu'on craint d'être attaqué il vaut mieux porter la guerre chez son ennemi, que de l'attendre chez soi,68
  • CHAP. XIII. Que la fraude sert plus que la force pour s'élever d'un état médiocre à une grande fortune,76
  • CHAP. XIV. On se trompe la plupart du temps, lorsqu'à force de soumission on croit désarmer la hauteur,80
  • CHAP. XV. Les Etats foibles sont toujours indécis & la lenteur à déterminer est toujours nuisible,83
  • CHAP. XVI. Combien les armées modernes sont différentes des anciennes,88
  • CHAP. XVII. Quel cas on doit faire de l'artillerie dans les armées modernes, & si l'opinion universelle en ce point est fondée en raison,96
  • CHAP. XVIII. Qu'il est prouvé par l'autorité des Romains & par l'exemple des anciens qu'on doit faire plus de cas de l'infanterie que de la cavalerie,108
  • CHAP. XIX. Que les acquisitions d'une république mal constituée & qui ne prend pas pour modele de sa conduite celle des Romains, la ruinent au lieu de la fortifier,117
  • CHAP. XX. A quel péril s'exposent les princes & les républiques qui se servent de troupes auxiliaires ou mercénaires,126
  • CHAP. XXI. Le premier préteur que les Romains envoyerent hors de chez eux fut envoyé à Capoue après quatre cents ans de guerre avec leurs voisins,130
  • CHAP. XXII. Combien souvent les hommes se trompent dans les jugements qu'ils portent sur les grandes choses,134
  • CHAP. XXIII. Combien les Romains évitoient les partis mitoyens lorsqu'ils jugeoient leurs sujets pour telle raison que ce pût être,139
  • CH AP. XXIV. Que les places fortes sont en général beaucoup plus nuisibles qu'utiles,148
  • CHAP. XXV. Que l'on prend un mauvais parti, lors qu'on veut profiter de la désunion d'une ville pour l'attaquer & s'en rendre maître,162
  • CHAP. XXVI. Qu'on se fait haïr par les injures & le mépris, sans en retirer aucun avantage,165
  • CHAP. XXVII. Les républiques & les princes sages doivent se contenter de vaincre. On perd quelquefois tout à vouloir trop gagner,168
  • CHAP. XXVIII. Combien il est dangereux pour une république ou pour un prince de ne pas punir les injures faites au public ou aux particuliers,174
  • CHAP. XXIX. La fortune aveugle les hommes quand elle ne veut pas qu'ils s'opposent à ses desseins,178
  • CHAP. XXX. Que les républiques & les princes véritablement puissants n'achetent pas des alliés à prix d'argent, mais que leur courage & la réputation de leurs forces doivent leur en attirer,183
  • CHAP. XXXI. Combien il est dangereux de se fier à des exilés,190
  • CHAP. XXXII. Comment les Romains attaquoient les villes,193
  • CHAP. XXXIII. Que les Romains laissoient leurs généraux parfaitement maîtres de leurs opérations,199

LIVRE TROISIEME.

  • CHAP. I. Si l'on veut qu'une religion, une république, durent long-temps, il faut les ramener souvent à leur principe,203
  • CHAP. II. Combien il est sage de jouer pour un temps le fou,212
  • CHAP. III. Que, pour maintenir une liberté nouvellement acquise, il faut, comme Brutus, ne pas épargner ses propres enfants,215
  • CHAP. IV. Un prince ne peut vivre avec sécurité tant qu'il laisse le jour à ceux qu'il a dépouillés218
  • CHAP. V. Comment un roi que les loix de la succession ont mis sur le trône en est dépouillé,220
  • CHAP. VI. Des conspirations,224
  • CHAP. VII. Pourquoi le passage de la liberté à la servitude, & de la servitude à la liberté, coûte quelquefois beaucoup de sang, & quelquefois n'en coûte pas,265
  • CHAP. VIII. Quiconque veut changer une république, doit examiner quelles en sont les moeurs,267
  • CHAP. IX. Qu'il faut changer suivant les temps, si l'on veut toujours réussir,273
  • CHAP. X. Qu'il est impossible à un général d'éviter une bataille, lorsque l'ennemi veut la donner à quelque prix que ce puisse être,277
  • CHAP. XI. Que lorsqu'on a beaucoup d'adversaires, on est sûr de les vaincre malgré leur supériorité, dès qu'on peut soutenir leur premier effort,285
  • CHAP. XII. Qu'un habile général doit mettre ses soldats dans la nécessité de se battre, & donner à l'ennemi tous les moyens de l'éviter,289
  • CHAP. XIII. Qui peut inspirer plus de confiance, d'une mauvaise armée commandée par un bon général, ou d'une bonne armée commandée par un mauvais,296
  • CHAP. XIV. Quel est l'effet des stratagèmes qu'on emploie dans une bataille, & des paroles inattendues qu'on y entend,300
  • CHAP. XV. Qu'un chef vaut mieux que plusieurs, & que leur multitude nuit au bien,305
  • CHAP. XVI. Que dans les temps difficiles, on va chercher les gens vertueux; mais qu'au contraire quand tout est tranquille, ce n'est pas la vertu mais les richesses & les liaisons particulieres qui prévalent,308
  • CHAP. XVII. Qu'un Etat après avoir offensé un citoyen, ne doit pas lui confier une commission ni un poste d'importance,314
  • CHAP. XVIII. La plus grande qualité d'un général est de prévoir les desseins de son ennemi,316
  • CHAP. XIX. Si, pour gouverner la multitude, l'indulgence vaut mieux que la rigueur,321
  • CHAP. XX. Un trait d'humanité servit plus à vaincre les Falisques que la puissance des Romains,324
  • CHAP. XXI. D'où vient qu'Annibal, avec des moeurs & un caractere bien différents de ceux de Scipion, eut autant de succès en Italie, que ce Romain en eut en Espagne,326
  • CHAP. XXII. Que Manlius Torquatus par sa dureté, Valerius Corvinus par son humanité, ont acquis la même gloire,332
  • CHAP. XXIII. Pourquoi Camille fut chassé de Rome,342
  • CHAP. XXIV. La continuation des commandements mit Rome aux fers,344
  • CHAP. XXV. De la pauvreté de Cincinnatus & de plusieurs Romains,347
  • CHAP. XXVI. Comment les femmes sont la cause de la ruine d'un Etat,351
  • CHAP. XXVII. Comment on rétablit la paix dans une ville divisée, & qu'il est faux que pour conserver son autorité il faille entretenir la désunion,354
  • CHAP. XXVIII. Qu'on doit veiller attentivement sur les actions des citoyens, parce qu'une action bonne en apparence recele souvent un principe de tyrannie,359
  • CHAP. XXIX. Que la corruption du peuple vient toujours de celle des princes,362
  • CHAP. XXX. Un citoyen qui, de son autorité privée, veut faire une action utile à sa république doit songer d'abord à faire taire l'envie; & comment on doit préparer la défense d'une ville quand elle est sur le point d'être attaquée,365
  • CHAP. XXXI. Qu'un grand homme, qu'une république bien constituée, conservent le même courage, la même grandeur, dans la bonne & dans la mauvaise fortune,371
  • CHAP. XXXII. Comment on s'y est pris quelquefois pour rendre la paix impossible,379
  • CHAP. XXXIII. Pour vaincre il faut inspirer de la confiance à une armée, soit en elle-même, soit en son général,381
  • CHAP. XXXIV. Quelle réputation, quelles présomptions, quels préjugés commencent à concilier à un citoyen la faveur du peuple; & si un peuple distribue les emplois plus sagement qu'un prince,386
  • CHAP. XXXV. Combien il est dangereux de se porter par ses conseils pour l'auteur d'une entreprise, & que le danger est d'autant plus grand que l'entreprise est plus extraordinaire,393
  • CHAP. XXXVI. Pourquoi on dit que les Gaulois d'autrefois, & les François d'aujourd'hui, étoient plus que des hommes au commencement d'une action, & moins que des femmes à la fin,397
  • CHAP. XXXVII. S'il est nécessaire de s'exercer par de légers combats avant d'engager une affaire décisive; & comment on doit s'y prendre pour connoître un ennemi nouveau, quand on ne veut pas risquer ces légers combats,402
  • CHAP. XXXVIII. Des qualités qu'un général doit avoir pour inspirer de la confiance à son armée,408
  • CHAP. XXXIX. Qu'un général doit connoître le pays où il fait la guerre,411
  • CHAP. XL. Que la ruse est glorieuse à la guerre,415
  • CHAP. XLI. Que, glorieusement ou non, il faut défendre son pays; & que tout est bien, pourvu qu'il soit défendu,417
  • CHAP. XLII. Que les promesses arrachées par force ne doivent point être gardées,419
  • CHAP. XLIII. Que les hommes d'un pays ont à-peu-près dans tous les temps le même caractere,421
  • CHAP. XLIV. Qu'on emporte souvent par violence & par audace ce qu'on n'obtiendroit pas par les moyens ordinaires,424
  • CHAP. XLV. Lequel vaut mieux dans une bataille de soutenir l'effort de l'ennemi & ensuite de le pousser, ou de l'attaquer d'abord avec furie,428
  • CHAP. XLVI. D'où vient que le caractere se conserve assez long-temps dans une famille,429
  • CHAP. XLVII. Qu'un bon citoyen doit oublier les injures particulieres en faveur du bien public,431
  • CHAP. XLVIII. Lorsqu'on voit l'ennemi faire une faute considérable, on doit être convaincu que c'est un piege qu'il nous tend,432
  • CHAP. XLIX. Une république jalouse de conserver sa liberté doit imaginer tous les jours de nouvelles précautions; & pour quel genre de mérite Fabius fut surnommé Maximus,435
  • Fin de la Table.
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Nicolas Machiavel
Collection Philosophie
Parution 31/07/2023
Nb. de pages 484
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 644g
EAN13 9782329984919

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