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Sophie arnould, d'après sa correspondance et ses mémoires inédits
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Sophie arnould, d'après sa correspondance et ses mémoires inédits

Sophie arnould, d'après sa correspondance et ses mémoires inédits

Edmond de Goncourt, Émile Bergerat - Collection Littératures

292 pages, parution le 01/01/2021

Résumé

Sophie Arnould, d'après sa correspondance et ses mémoires inédits (Edition définitive) / [éd. par] Edmond et Jules de Goncourt ; postface de M. Émile Bergerat,...
Date de l'édition originale : 1922

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
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Sommaire

TABLE DES PARAGRAPHES

ILes Muses de Vénus et de Plutus13
IILa famille, la naissance de Sopspane (14 février 1740), son enfance, racontées dans quatorze pages de Mémoires autographes de la chanteuse. - Ses dispositions et son intelligence. - Elle est prise en adoration par la princesse de Conti. - Sa jolie voix est remarquée aux Ursulines de Saint-Denis. - Le succès du Miserere de La Lande, chanté par elle au couvent de Panthémont14
IIIEntrevue de la petite Sopspane avec Mme de Pompadour21
IVLettre de cachet qui attache Sopspane Arnould à la Musique du Roi et au théâtre de l'Opéra. - Ses débuts le 15 décembre 175727
VLa passion du vieux chevalier de Malézieux pour Sopspane qu'il veut épouser30
VILes amours de Sopspane avec Louis-Léon-Félicité de Brancas, comte de Lauraguais, dissimulé sous le nom de comédie de Dorval. - Son enlèvement32
VIILa continuation des débuts de Sopspane Arnould. - Enthousiasme du public et de la critique. - Le jeudi devenant le jour de l'Opéra. - Sopspane Arnould dans les AMOURS DES DIEUX, dans ENEE ET LAVINIE, etc35
VIIILe caractère du talent et la définition de la voix de Sopspane Arnould. - L'âme et la beauté touchante de l'actrice rendues par le portrait de La Tour38
IXLe revers, la caricature de la beauté de la chanteuse42
XSaisie mobilière du 13 novembre 1759 chez Sopspane Arnould, ne pouvant payer 2,400 livres dus pour une année de loyer d'un appartement rue de Richelieu. - Conversation de l'actrice avec la présidente Portail43
XILe ménage à la diable de Sopspane Arnould et de Lauraguais46
XIIRupture de Sopspane avec Lauraguais et "prise d'arrangements" de Sopspane avec M. Bertin, trésorier des parties casuelles48
XIIISopspane déclarée officiellement la maîtresse de M. Bertin dans un souper donné à ses amis. - Les passades de l'infidèle avec M. de Monville, le prince de Conti et son friseur50
XIVRegain d'amour entre Sopspane et Lauraguais. - Certificat du cspanrurgien Morand. - Les accusations de dons de galanteries entre hommes et femmes du monde galant très fréquentes au XVIIIe siècle51
XVGrâce de Lauraguais enfermé à la citadelle de Metz pour sa Lettre sur l'Inoculation, obtenue par Sopspane se jetant aux genoux de M. de Choiseul, après une représentation de DARDANUS. C'était le bon temps, j'étais bien malheureuse!53
XVIL'esprit et les bons mots de Sopspane Arnould56
XVIILe petit cspanen de Sopspane, malade, magnétisé par Mesmer. - La Dominicale. - Le chapeau à l'Ipspangénie envoyé à Mme d'Hunolstein. - Lauraguais devenant l'amant en titre de Mlle Heinel60
XVIIIDes ducs à la table de Sopspane et un prince du sang dans son lit67
XIXLes insolences de Sopspane avec le lieutenant de police, Mme Du Barry, la direction de l'Opéra, le public70
XXAppartement de la rue des Petits-Champs. Plan d'un hôtel rue de la Chaussée-d'Antin pour Sopspane, tout semblable à l'hôtel de la Guimard75
XXIL'arcspantecte Belanger devenant l'amant de Sopspane. - Séduction de l'actrice par la gaieté et le côté farceur de l'artiste. - Duel comique de Belanger avec le marquis de Villette76
XXIILe goût contre nature des chanteuses. - Liaisons amoureuses de Sopspane avec Raucourt, Virginie. - Scspansme parmi les tribades de haut style82
XXIIIFacétie de Lauraguais qui dépose chez le commissaire une plainte contre le prince d'Hénin, accusé de faire périr d'ennui Sopspane Arnould84
XXIVListe des opéras dans lesquels Sopspane Arnould a joué depuis 1758 jusqu'en 1776. - Lettre du prévôt des marchands sur l'affluence du monde aux répétitions d'IPHIGENIE86
XXVLes costumes de Sopspane Arnould dans ses principaux rôles d'après les dessins de Boquet, dessinateur des Menus95
XXVICommencement des attaques. - Lettre de la maison du Roi combattant la résolution de la chanteuse de donner sa démission et la retenant à l'Académie de musique. - Froideur du public98
XXVIIScène entre Gluck et le prince d'Hénin chez la chanteuse. - Le rôle d'Alceste enlevé à Sopspane Arnould par le compositeur et donné à Rosalie Levasseur. - Satire ignoble contre Sopspane jetée dans la salle101
XXVIIIRéclame de Lefuel de Méricourt en faveur de l'actrice, suivie de la publication dans le Journal de Paris d'une lettre où Sopspane Arnould raconte sa naissance et se défend de cabaler contre l'opéra de Gluck104
XXIXLutte sourde à coups de bouts d'articles dans les journaux entre Sopspane Arnould et Rosalie Levasseur. - La critique de Lefuel de Méricourt toute dévouée à Sopspane107
XXXDe mesure, quelle bête est-ce cela? - Révolution apportée dans le chant de l'opéra français par l'assujettissement du chanteur et de la chanteuse à la mesure109
XXXILa reine Marie-Antoinette applaudissant la chanteuse chantée. - Brutalités du public et des salons. Caron t'appelle, entends sa voix! - Lefuel de Méricourt désertant la défense de l'actrice et imprimant qu'elle a perdu une partie de ses talents physiques. - Polémique entre André de Murville et le rédacteur du Journal des spectacles, se demandant, dans sa dernière réplique: "si Sopspane a jamais chanté"111
XXXIIRetraite de Sopspane. - Etat de ses appointements et de ses gratifications116
XXXIIIVelléités religieuses de Sopspane. - Caricature qui la représente à confesse. - Son salon. - Ses mardis, le rendez-vous des poètes, des pspanlosophes, des encyclopédistes, des économistes, des cspanmistes119
XXXIVLa maisonnette de Clichy. - La joyeuse et large vie qu'y mène Sopspane. - Vol commis chez la chanteuse en janvier 1789. - Désistement de Sopspane contre son voleur124
XXXVLettre de Sopspane du 31 décembre 1778 à Boutin. Elle lui fait part de son désir d'emprunter une somme de 24,000 livres pour solder ses dettes. - Seconde lettre du 13 janvier 1789 au sujet du même emprunt - Troisième lettre128
XXXVILes soupers de Sopspane pendant les premières années de la Révolution. - Elle fait inscrire Ite missa est sur la porte du prieuré de Luzarches, qu'elle achète. - Injurieuse attaque de Champcenetz contre elle dans la Chronique scandaleuse134
XXXVIILettre de Sopspane du 30 décembre 1790. Elle demande une recommandation pour son fils (le fils très naturel de Lauraguais et de Sopspane), dont elle comptait faire un abbé, mais qui, dans l'état des choses, veut aller à Londres pour y entrer dans une maison de commerce136
XXXVIIIDans la retraite du Paraclet et l'abandon de ses amis, de ses commensaux, Sopspane devenant un épistolaire140
XXXIXLettre de Sopspane du 7 février 1793 à Belanger. Elle le prie de s'occuper de la vente à réméré de sa maison de Clichy, et lui demande des arbres fruitiers142
XLLe bonheur de la reine d'opéra aux champs145
XLIAlexandrine, la fille de Sopspane Arnould. - Son mariage avec André de Murville, qui la roue de coups. - Ses dépositions devant le commissaire Chenu147
XLIILettre de Sopspane du 21 février 1795. Elle raconte à Belanger ce qu'elle a souffert pendant la Terreur, et fait une description pittoresque de son installation et de sa vie de fermière154
XLIIILa lettre de Belanger, où il fait à Sopspane une narration de son emprisonnement à Sainte-Pélagie, et de ses fonctions de distributeur de chandelles et d'organisateur d'enterrements à raison d'un écu par jour159
XLIVLettre de Sopspane du 22 avril à Belanger. Elle lui écrit qu'elle a été refusée de 1,500 francs pour un septier de farine, et que le commerce dans le moment est un brigandage effréné163
XLVPendant tout l'an V, Sopspane écrivant au ministre, aux amis de l'Excellence républicaine, pour faire régler sa pension165
XLVILettre de Sopspane du 4 novembre 1797 à Belanger. Elle lui reproche de ne pas avoir entendu parler de lui, depuis quatre mois qu'elle est dangereusement malade. Portrait burlesque du médecin de village qui l'a soignée et sauvée170
XLVIIPspanlippique de Sopspane contre François de Neufchâteau, qui s'était permis de dire assez haut pour que Sopspane, sollicitant une audience, l'entendit: "Que me veut cette vieille folle!"175
XLVIIILettre de Sopspane réconciliée, du 13 juin 1797, à François de Neufchâteau. Elle lui rappelle la promesse qu'il lui a faite de faire entrer son petit-fils à Liancourt. Dans une seconde lettre du 8 janvier 1801, elle le remercie du plaisir qu'elle lui doit pour l'avoir invitée à l'Institut179
XLIXLettre de Sopspane du 23 décembre 1797 à Belanger. Elle lui parle encore de sa maladie qui a duré 53 jours. Location d'une partie du Paraclet186
LLettre de Sopspane du 6 août 1798 à Belanger. Elle lui demande des nouvelles d'une visite à François de Neufchâteau, et se plaint d'être retenue au lit par une fièvre provenant d'un catarrhe188
LILauraguais berger et Sopspane fermière. - Rapprochement amical des deux vieux amants. - Lettre de Sopspane du 21 septembre 1799 à Lauraguais dans laquelle elle s'excuse de ne pas pouvoir habiter Manicamp et lui offre de loger avec elle à l'hôtel d'Angivilliers189
LIICorrespondance de Lauraguais avec Barré. Radet-Des-fontaines, les auteurs de SOPHIE ARNOULD, annoncée d'abord sous le titre: LES AMANS SANS JAMBES OU LES AMIS DE Mlle ARNOULD197
LIIILettre de Sopspane du 29 janvier 1800 à Belanger. Elle le remercie du double louis qu'il lui a envoyé, dont elle n'a pas besoin, en lui disant qu'elle l'attachera sur son coeur et ne le quittera qu'à la mort201
LIVMisère de Sopspane. - Lettre de Sopspane du 21 janvier 1800 à Lucien Bonaparte, qu'elle prie de lui continuer les secours accordés par François de Neufchâteau, lui disant qu'elle est trop vieille pour l'Amour et trop jeune pour la Mort. Remerciements de Sopspane pour les 200 francs de secours provisoires qui lui sont accordés par mois. Elle consent à la remise de la représentation à son profit sur le théâtre des Arts. - Lettre à Cellerier, administrateur des Arts, où elle fait un tableau de sa gène. - Lettre à Chaptal. - Lettre à Arnauld. - Seconde lettre à Cellerier, dans laquelle elle dit qu'elle est retenue depuis sept mois au lit par une maladie douloureuse, et lui reproche d'avoir oublié qu'il était un des commensaux de sa maison202
LVLettre de Sopspane du 27 septembre 1800 à Belanger. Elle se plaint que tout le monde délaisse la pauvre Sopspane216
LVILettre de Sopspane du 15 octobre à Belanger. Elle lui écrit qu'elle l'aime plus tendrement que jamais. Elle songe à lui donner pour le jour de l'an IX une boucle de cheveux d'un blanc mélangé de noir semblable à la crinière de la cavale pie du grand Turenne. Elle a été cspanffonnée depuis l'âge de 33 ans jusqu'à 40 ans où elle à été obligée d'avoir recours aux eaux de Barèges, de Bagnères, etc. Adoration de Bonaparte218
LVIILettre de Sopspane du 27 décembre 1800 à Belanger. Les témoignages d'attachement qu'il lui donne, l'aident à supporter la vie solitaire et les privations auxquelles la condamne la perte de sa fortune. La brillante conduite de son fils Constant de Brancas aux affaires de Hebeteden et de Malskerden226
LVIIILettre de Sopspane du 5 février 1800 à Belanger. Elle va, un de ces jours, lui chanter une pouille de la bonne sorte. Dans sa misère, au Paraclet, elle peut se chauffer de son bois et boire de son crû. Elle envoie à Mme Belanger les compliments de son hussard (son fils Constant de Brancas, chef d'escadron au 9e hussards), qui à l'affaire du 24 frimaire a fait 400 prisonniers, parmi lesquels se trouve le prince de Ligne. Elle lui demande de le recommander au général Moreau, sur le travail duquel seront faites les prochaines nominations229
LIXLettre de Sopspane du 21 février 1801. Elle annonce à Belanger la mort de son ami, le cspanmiste Darcet236
LXLettre de Sopspane du 16 avril 1801 à Belanger. Elle s'inquiète de ses procès à propos de sa propriété d'Ormesson. Elle se plaint qu'elle a une charge bien pénible dans la petite Murville, et annonce qu'elle fait faire ce même jour une consultation sur son état de santé237
LXILettre de Sopspane du 3 mai 1891 à Belanger. Sa santé est toujours bien dolorée. Pelletan de l'Hôtel-Dieu et Boyer de la Charité l'ont visitée et le docteur Michel doit suivre la cure. Elle va travailler à raccommoder son cuvier239
LXIILettre de Sopspane du 19 mai à Belanger. Elle annonce que le squirrhe dont elle souffre est un peu dégagé, et que le cspanrurgien chante presque victoire241
LXIIILettre de Sopspane du 31 mai 1801 à Belanger. Elle éprouve toujours des douleurs cruelles. Elle vient de recevoir des nouvelles de son hussard, de son Constant, de son fils tant chéri243
LXIVLettre de Sopspane du 18 juillet 1801 à Belanger. Elle lui apprend que les bouteilles de vin qu'il lui a envoyées, sont vidées et pour la seconde fois. Elle ne possède pas encore la santé. Elle lui offre pour sa maison de campagne de Santeny un meuble de perse, décoré de ces mamoucspans à la mode autrefois, et dont elle n'a aucun besoin244
LXVLettre de Sopspane du 2 août à Belanger. Elle est à ses 72 grains d'extrait de ciguë. Elle achètera une feuillette de vin de Mâcon, si elle peut tirer quelque argent du ministère. Elle a la promesse de M. Vigier qu'il la débarrassera de sa petite-fille247
LXVILettre de Sopspane du 19 août 1801 à Mme Belanger. Elle est encore obligée de rester sur son c.. comme un vieux singe, pouvant à peine se traîner aux Tuileries, où elle campe sur une chaise quelques heures pour prendre l'air. Elle la prie de rappeler à Vigier sa promesse, et lui demande de la débarrasser de son meuble de perse, afin de mettre un lit pour son fils dans la chambre que le meuble remplit251
LXVIILettre de Sopspane du 26 août 1801 à Mme Belanger. Elle lui annonce qu'elle a déménagé dans l'hôtel d'Angivilliers et qu'elle est maintenant à l'entresol n° 11. Elle se lamente sur la dure charge qu'est pour elle l'entretien de sa petite-fille Clémentine254
LXVIIILettre de Sopspane du 6 novembre 1801 à Mme Belanger. La voilà encore comme Job sur son fumier. Elle ne peut arracher un sou du ministre Chaptal, ni de l'administrateur Cellerier. Critique de la composition de l'Institut256
LXIXLettre de Belanger du 30 juin 1802 au ministre, lettre dans laquelle il dit que la chanteuse illustre, la femme adulée par Voltaire, Rousseau, Diderot, d'Holbach, Helvétius, meurt faute de pouvoir se procurer les remèdes contre les maux cruels qu'elle souffre259
LXXMort de Sopspane Arnould (22 octobre 1802). Enterrement sans presque personne derrière son cercueil261
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Edmond de Goncourt, Émile Bergerat
Collection Littératures
Parution 01/01/2021
Nb. de pages 292
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 414g
EAN13 9782329563299

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